Les catastrophes sont là pour nous éviter le pire…

Le pire ?

Traverser la vie sans naufrages,

Rester à la surface des choses,

Patauger dans ce marécage des on-dit et des apparences,

N’avoir jamais été précipité dans une autre dimension.

Juin est là et, dans ma nouvelle dimension, ma vie est au ralenti. Conséquences ? J’ai pris du retard dans l’écriture, un grand retard. Frustration au rendez-vous : j’ai encore tant de projets à coucher sur le papier ! Aurai-je le temps ? Pourrai-je tout faire ?

En attendant de trouver les réponses à mes questions, je reste concentrée sur mon histoire pour la partager avec vous le plus tôt possible.

Chère lectrice, Cher lecteur, je te souhaite une belle fin d’année scolaire !

A bientôt, ici ou ailleurs…

 

Filles & Fils de France…

Cliquez sur l’image pour voir et écouter la chanson :

« Nous sommes la nation des Droits de l’Homme, nous sommes la nation de la Tolérance, nous sommes la nation de la Différence, nous sommes la nation des Lumières, nous sommes à l’heure de la Résistance. » Fils de France – Damien Saez2002

Lectrice, Lecteur, je te souhaite un bon week-end…

 

Vous avez dit 1er mai ?

« Dans aucun pays du monde on n’enseigne la communication à l’école. Je crois que ce n’est pas un hasard : le jour où l’on enseignera à l’école la communication et donc l’affirmation de soi, la responsabilisation, la tolérance et le respect des différences, on aura, je le crois, des citoyens moins moutonniers, moins manipulables, moins influençables et donc plus conscients et peut-être plus engagés dans la vie de la cité et de l’Etat. » Jacques Salomé, extrait du Grand Livre de la Tendresse.

Je me souviens de 2002…

Et vous ?

Nous sommes en 2017 et nous nous retrouvons dans le même cas de figure… Vous savez bien de quoi je parle.

Je n’aime pas la politique. Ni plus ni moins que des chamailleries dans la cour de récréation d’une école maternelle, des bandits qui se disputent la couronne…

Mais…

En 2002, effarée par les résultats du premier tour, j’ai imaginé une histoire. Une histoire de dictature montante :

Aujourd’hui, nous ne devons pas nous laisser attendrir par de « belles » paroles et de faux programmes qui déguisent une future dictature. L’Histoire parle d’elle-même. Retournons en arrière (lisons, visionnons…) pour nous rafraîchir la mémoire, au cas où.

Bref… aiguisons nos consciences pour le bien de l’Humain, brisons le cercle vicieux de l’Histoire, Résistons.

à MÉDITER…

« Transmuer en nous ces énergies qui nous habitent, ces haines, ces ressentiments qui sont en nous et qui, à un autre niveau, engendrent la guerre sur terre. (…) quand on s’aperçoit combien de choses on fait souffrir de sa souffrance, combien de choses et de gens et d’êtres étouffent de notre étouffement, de notre ressentiment (…) Prendre conscience de ce qui se produit dans un renversement, un renversement d’une modestie infinie, quand nous commençons à prendre au sérieux les gestes que nous faisons sur cette terre. Quand je commence à comprendre les conséquences qu’a la manière dont je te verse à boire, dont je te tends la main, dont j’entre dans le jour au matin, et avec quelle pensée ! Est-ce que je vais grossir ce nuage noir au-dessus de la ville, ce nuage noir de pensées mauvaises, de ressentiments, de tristesse, de colère, d’impuissance ou est-ce que je pose en ouvrant les yeux une autre image, un autre accent ? » extrait du Bon usage des crises, Christiane Singer.

« (…) il est d’autres délices sur terre, d’autres bonheurs que de massacrer et de tuer. » extrait de De l’amour, Stendhal.

La lettre aux Présidentiables de La Charte des Auteurs et Illustrateurs :

« À l’heure où s’ouvre Livre Paris, la Charte adresse une lettre aux présidentiables.
Nous saisissons ici l’occasion de rappeler que les auteurs jeunesse restent confrontés à une sous-rémunération et à une absence d’écoute insupportable.
Nous l’espérons assez percutante et drôle car les pouvoirs publics finissent par apparaître comme les seuls acteurs susceptibles de faire évoluer cette situation.
Dans le contexte actuel de mise en avant de la lecture de jeunesse et de son importance, il devient urgent de mieux traiter les auteurs, à la source des livres. » La Charte 

Pour consulter la lettre, cliquez ici.

Le combat continue… alors à bientôt, ici ou ailleurs !

« Les Mots du Monde face aux maux du monde, envers et contre toute morosité… Lisons ! »

Chère lectrice, Cher lecteur,

Le mois de mars est là et le printemps viendra bientôt épanouir la nature.

De mon côté, ce mois-ci est synonyme de rencontres.

À Nantes :

Exceptionnellement, j’ai accepté l’invitation du Festival AtlantideLes Mots du Monde à Nantes – du 2 au 5 mars 2017 au LU (Lieu Unique – ancienne usine – et non pas Lefèvre Utile, notre fameux Petit Beurre Lu que nous nous régalons à croquer par les oreilles) et dans la ville.

Pourquoi ai-je accepté ?

  • mon roman Le vieux sur la falaise était sélectionné pour le Prix Bermont/Boquié de Nantes (remis le dimanche 5 après-midi au LU)
  • c’est chez moi : plus facile pour m’y rendre et moins fatigant
  • enfin : j’y retrouverai avec une certaine émotion des classes de jeunes élèves en primaire.
Pourquoi avec émotion ?

Parce que cela va faire 3 ans que je ne me suis pas déplacée pour aller à la rencontre de mes lecteurs, en milieu scolaire, en médiathèque ou sur les salons ! Je vous garantis que le trac est là !

Ma participation à ce festival se fait en fonction de mes moyens physiques, aussi je ne serai que peu présente (mercredi 1er et vendredi 3 mars, l’après-midi).

E-Rencontres :

Le village où les enfants ne riaient plus est sélectionné pour le Prix du Livre de Paris-Orly 2017 et, comme pour la plupart des prix, des rencontres sont bien sûr organisées.

J’ai accepté d’y participer, mais ce sera une présence virtuelle. Une première !

Deux journées que j’attends avec impatience et appréhension. Est-ce que la technologie ne nous fera pas faux bond ? Est-ce que le contact sera chouette malgré l’écran entre nous ?

Je vous raconterai ces premiers pas avec les E-Rencontres qui se dérouleront fin mars.

En attendant, je vous souhaite de belles lectures et un début de printemps serein,

À bientôt, ici ou ailleurs…