PLANETE INTERDITE

Nouvelle couverture / nouveau tire :

https://www.leseditionsdavallon.com/nos-livres/plan%C3%A8te_interdite

https://www.kobo.com/fr/fr/ebook/planete-interdite#ratings-and-reviews

Les avis (réédition)

 

« Une magnifique histoire, bouleversante, inspirée de faits réels. Un homme accusé à tort soit conserver son humanité. C’est fort, c’est beau, c’est humaniste. »
 
« UN COUP DE POING AU VENTRE !
Un livre formidable alliant suspense et anticipation. »
 
« UN VRAI PAGE TURNER !
Un très bon roman de Nathalie Le Gendre. Une grande force se dégage de celui-ci. »
 

Ancienne couverture / ancien titre :

Editions D’Avallon, collection Noire, 2ème édition

Elora reste dans voix. Installée dans le grenier de sa grand-mère, elle tient entre ses mains tremblantes un manuscrit d’où s’échappent des coupures de journaux sur lesquelles le nom de son grand-oncle apparaît. Un titre achève de la glacer d’effroi : « Loïk Gwilherm condamné aux travaux forcés sur la station-bagne XV de la planète Syringa ». Quel mystère cache sa famille ? Quelle sombre histoire a bien pu envoyer son grand-oncle dans un bagne spatial ? Une seule solution pour le savoir : lire la pile de feuilles jaunies qui repose sur ses genoux, ce manuscrit écrit par Maelwenn, sa grand-mère, en mémoire de son frère Loïk, et au titre énigmatique « 49 302 »…

Sortie le 15 janvier 2022

 

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Ancienne édition (1ère) en 2006, roman publié en Jeunesse :

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Précision importante : cette histoire a été écrite en 2005, la planète étrangère, dépeinte avec son peuple si proche de la nature et leurs croyances, n’a donc pas été tirée du film de Cameron, Avatar, sorti en 2009. Ou alors… c’est lui qui a plagié… 😉

 

Roman indisponible 
Parution : février 2006
Collection : Mango Jeunesse
Édition : Autres Mondes, nº 37
Illustrateurs : Gilles FRANCESCANO & Thierry FRANCESCANO
216 pages

Un court extrait en fin de page…


Les prix (1ère édition)

2007 - Prix des Lycées Professionnels du Haut-Rhin
Les sélections :
  • Prix littéraire des maisons Familiales d’Anjou (2006)
  • Prix Isigny (2007)
  • Grand prix de l’imaginaire (2007)

Les avis (1ère édition)

 » Réflexion sur le bagne, les erreurs judiciaires, la cruauté humaine, le goût du pouvoir, l’inhumanité, 49302 est tout cela à la fois. Ce récit, bien construit par une talentueuse romancière, ajoute un élément fort à une collection intelligente et indispensable. » Jean-François Thomas

« Nathalie Le Gendre décrit avec force et dureté l’emprisonnement de Loïk, sans nous épargner les humiliations, le goût du sang, des excréments et de la déshumanisation des bagnards. Elle appuie sur la tête de son lecteur, lui enfonce le nez dans la fange, le fait trembler de froid, de peur, bref, n’y va pas avec le dos de la cuillère. Mais l’auteur ne s’arrête pas à ce qui aurait pu rester un roman presque écœurant de réalisme. Nathalie Le Gendre s’attaque aussi à la bêtise humaine, qui donne toute sa mesure dans la rencontre entre Loïk et les habitants de Syringa. Rencontre qui, finalement, permet à l’auteur de transmettre un message d’espérance. » Michaël Espinosa

« C’est un roman d’aventures passionnant, qui se lit d’une traite et donne envie, tout à la fois, de se plonger dans les autres œuvres de Nathalie Le Gendre et d’en savoir plus sur « l’affaire Seznec ». Et pourquoi pas, de s’informer sur les conditions de détention actuelles et de militer pour un peu plus de justice en ce monde. Un roman qui se dévore et qui fait réfléchir. C’est considérable. » Lucie Chenu

« Nathalie Le Gendre a toujours prouvé son talent pour l’écriture en rafflant de nombreux prix pour chacun de ses livres. Dans 49 302 elle ne déçoit pas une seconde son lectorat et nous emmène dans un bagne absolument atroce. » LIRADO

« Le texte est très vite poi­gnant, sai­sis­sant de réa­lisme, et la qua­lité d’écriture indé­niable » Franck Boussard Le Littéraire


Extrait

L’obscurité se transforma enfin en lumière. Je m’extirpai avec frénésie du conduit, et, sans la moindre prudence, j’arrachai mon masque pour aspirer à grandes goulées l’air de la pièce dans laquelle je me trouvais maintenant. J’eus une envie furieuse de crier à pleins poumons. Crier pour faire sortir la terreur qui s’était embusquée dans mon corps durant toute la traversée horrible de ce tunnel. Je regardai autour de moi, pour découvrir une immense salle avec des barreaux. Elle ressemblait à une cage pour animaux sauvages. Je repérai trois accès différents qui menaient je ne sais où. On aurait très bien pu passer par une de ces portes ! Ce petit jeu ne servait donc qu’à nous effrayer davantage et à nous briser, à peine le pied posé sur cette station. Un avant-goût de notre nouvelle vie…