Étiquette : Pause… itive !
Thich Nhat Hanh a dit :
« Vivre en pleine conscience,
Ralentir son pas et goûter
Chaque seconde et chaque respiration,
Cela suffit.«
Marcel Proust à dit :
« Le véritable voyage de découverte
ne consiste pas
à chercher de nouveaux paysages,
mais à avoir de nouveaux yeux. »
Jean Giono (1895-1970)
On entend souvent dire :
« Si j’avais ceci, si j’avais cela, je serais heureux. »
Et l’on prend l’habitude de croire que le bonheur réside dans le futur et ne vit qu’en conditions exceptionnelles.
Le bonheur habite le présent,
et le plus quotidien des présents.
Il faut dire :
« J’ai ceci, j’ai cela, je suis heureux. »
Et même dire :
« Malgré ceci et malgré cela, je suis heureux… »
L’Art d’être Heureux…
« On devrait bien enseigner aux enfants l’art d’être heureux. Non pas l’art d’être heureux quand le malheur vous tombe sur la tête ; je laisse cela aux stoïciens ; mais l’art d’être heureux quand les circonstances sont passables et que toute l’amertume de la vie se réduit à de petits ennuis et à de petits malaises. La première règle serait de ne jamais parler aux autres de ses propres malheurs, présents ou passés (…)
Il faudrait expliquer aux enfants et aux jeunes gens, aux hommes aussi, quelque chose qu’ils oublient trop, il me semble, c’est que les plaintes sur soi ne peuvent qu’attrister les autres, c’est à dire en fin de compte leur déplaire, même s’ils cherchent de telles confidences, même s’ils semblent se plaire à consoler.
Car la tristesse est comme un poison ; on peut l’aimer mais non s’en trouver bien ; et c’est toujours le plus profond sentiment qui a raison à la fin.
Chacun cherche à vivre, et non à mourir ; et cherche ceux qui vivent, j’entends ceux qui se disent contents, qui se montrent contents.
Quelle chose merveilleuse serait la société des hommes, si chacun mettait de son bois au feu, au lieu de pleurnicher sur des cendres ! »
ALAIN (1868-1951) – Philosophe français (Propos sur le bonheur)
Les catastrophes sont là pour nous éviter le pire…
Le pire ?
Traverser la vie sans naufrages,
Rester à la surface des choses,
Patauger dans ce marécage des on-dit et des apparences,
N’avoir jamais été précipité dans une autre dimension.
Juin est là et, dans ma nouvelle dimension, ma vie est au ralenti. Conséquences ? J’ai pris du retard dans l’écriture, un grand retard. Frustration au rendez-vous : j’ai encore tant de projets à coucher sur le papier ! Aurai-je le temps ? Pourrai-je tout faire ?
En attendant de trouver les réponses à mes questions, je reste concentrée sur mon histoire pour la partager avec vous le plus tôt possible.
Chère lectrice, Cher lecteur, je te souhaite une belle fin d’année scolaire !
A bientôt, ici ou ailleurs…